À Breuillet, par exemple, dans la cour de l'école maternelle, les racines de deux cerisiers faisaient des bosses sous le bitume. Un enfant est tombé. Et aussitôt, sans autre forme de procès, sans tenir compte des suggestions des enseignants et parents, on condamne les arbres "dangereux". On en profite pour refaire la cour et comme elle va désormais manquer d'ombre, on décide la construction d'un préau.
Dommage car ces cerisiers avaient été plantés dans un but pédagogique. Il est vrai qu'un pédagogue pourra nous expliquer qu'ils n'ont pas été arrachés mais... "alignés".