La Saintonge pleure son barde, Jacques Hermand dit le Grand Simounet’, digne successeur de Goulebenéze et porte-drapeau de tous les
thius salés (Saintongeais du littoral). Nous l’avons accompagné hier après-midi, à l’église puis au cimetière de L’Éguille.
Vivre à Breuillet se souvient en effet qu’il avait assuré l’animation lors d’un repas célébrant le premier anniversaire de l’association. Une centaine de convives, à Transhumance, gardent encore un souvenir ému de son talent, de son charisme, de son humour. C’était il y a… 25 ans. Dans son ouvrage
Galope-Chenaux, quelques vers sont de circonstance :
La neut’ vat’ arriver… jh’arons encoèr’ reun’ fait’ !
La vie d’in’ houmme est courte : faut pas z’ou gavagnier !